LES MOTS

Publié le par poete d un jour

LES MOTS

Les mots coulent dans mes veines

Comme coule la seine

Les mots qui s’enchaînent

A perdre haleine

 

Ils résonnent en musique

Animés par la rythmique

Ils coulent en sanglots

Emotions à fleur de peau

 

Ils expriment avec ardeur

La richesse de mon cœur

Ils se déchaînent en tempête

Des révoltes plein la tête

 

Les mots qui s’insinuent

Vers des mondes inconnus

Peuplés de sentiments

Tel d’impossibles amants

 

Les mots qui s’enlacent

Parfois avec audace

Pour dévoiler nos cœurs

Sans aucune pudeur

 

Les mots qui s’amalgament

Pour former une trame

Pour révéler nos âmes

Et sécher nos larmes

 

 

Les mots qui dégoulinent

Du haut de leur colline

Se transforment en torrent

Du haut de nos tourments

 

Les mots suintent de temps en temps

A la faveur du printemps

A la faveur de mon cœur

Qui s’enflamme avec ardeur

 

Les mots qui s’enchevêtrent

Pour exprimer nos doutes

Nos espoirs de peut-être

Qui jalonnent notre route

 

Les mots qui s’entrechoquent

Parfois avec violence

Pour dire nos souffrances

Qui nous transforment en  loque

 

Les mots qui s’émerveillent

Devant un beau soleil

Une belle ingénue

Qui s’offre toute nue

 

Les mots qui partent à la conquête

D’une jolie coquette

Les mots qui ont l’audace

De laisser une trace

Les mots coulent dans mes veines

Comme coule la seine

Les mots qui s’enchaînent

A perdre haleine

 

Ils résonnent en musique

Animés par la rythmique

Ils coulent en sanglots

Emotions à fleur de peau

 

Ils expriment avec ardeur

La richesse de mon cœur

Ils se déchaînent en tempête

Des révoltes plein la tête

 

Les mots qui s’insinuent

Vers des mondes inconnus

Peuplés de sentiments

Tel d’impossibles amants

 

Les mots qui s’enlacent

Parfois avec audace

Pour dévoiler nos cœurs

Sans aucune pudeur

 

Les mots qui s’amalgament

Pour former une trame

Pour révéler nos âmes

Et sécher nos larmes

 

 

Les mots qui dégoulinent

Du haut de leur colline

Se transforment en torrent

Du haut de nos tourments

 

Les mots suintent de temps en temps

A la faveur du printemps

A la faveur de mon cœur

Qui s’enflamme avec ardeur

 

Les mots qui s’enchevêtrent

Pour exprimer nos doutes

Nos espoirs de peut-être

Qui jalonnent notre route

 

Les mots qui s’entrechoquent

Parfois avec violence

Pour dire nos souffrances

Qui nous transforment en  loque

 

Les mots qui s’émerveillent

Devant un beau soleil

Une belle ingénue

Qui s’offre toute nue

 

Les mots qui partent à la conquête

D’une jolie coquette

Les mots qui ont l’audace

De laisser une trace

 

 

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